L'abbé Robin écrit à M. Heguy, un négociant de St Jean de Luz actuellement à Louisbourg, pour renouveler leur amitié malgré la distance et discuter de leur relation passée.
Joseph Guichard, de Bayonne, adresse une lettre à Sébastien Charles Laborde à Louisbourg, datée du 25 mars 1757, dans laquelle il partage ses mésaventures financières et commerciales.
Joseph Guichard écrit à M. Dumaine, un négociant à Louisbourg, depuis Bayonne le 25 mars 1757, pour discuter de la liquidation des actifs restants de leur ancienne société.
Dans cette lettre de Joseph Guichard à M. Cabofie, datée du 28 mars 1757, Guichard rapporte les difficultés rencontrées lors de son voyage et de ses activités commerciales, notamment la dissolution de sa société à Louisbourg et la vente d'une…
Dans sa lettre datée du 15 octobre 1754, Joannis Cassaro, depuis Léognan, s'adresse à un destinataire non spécifié pour lui rappeler un arrangement financier passé durant une période de guerre.
Joanna Haurra Mococain veuve Domecq, depuis Saint-Jean-de-Luz, s'adresse à son fils Bertrand Domecq, officier marinier à Louisbourg, pour lui exprimer sa surprise et sa déception de ne pas avoir de ses nouvelles depuis son départ.
Joanna Castillou Duhalde écrit à son époux Jean Castillou pour l'informer de leur situation difficile et exprime son souhait qu'il soit en meilleure position.
Joanes Matet informe son fils Joannes que toute la famille est en bonne santé et souhaite la même chose pour lui, tout en exprimant le désir de le revoir.
Joana Aprendisteguy informe son époux Martin Darango que toute la famille est en bonne santé et exprime son amour et son désir ardent de le voir revenir.
Jeanne de Lissardy, veuve Ducos, répond à Bertrand Derocet de Louisbourg en confirmant la réception d'une lettre de change de 240 livres qu'elle lui créditera dès que possible.
Jeanne de Chast, veuve Madaris, de Ciboure, écrit à Jean Laborde, négociant à Louisbourg, pour lui rappeler une dette concernant les salaires de son défunt mari François Madaris, qui travaillait comme matelot sur la goélette La Pitouche.
Jean Sartho, depuis Saint Jean de Luz, écrit à un ami à Louisbourg, lui rappelant leurs connexions passées et exprimant sa gratitude pour l'aide précédemment reçue.
Jean Lirman écrit à Simon Gotière de Bayonne, exprimant ses respects et se renseignant sur l'état de santé de Simon et de sa famille, tout en demandant des nouvelles d'un billet et de divers prêts qu'il a faits.
M. Lanne adresse une lettre aux frères Delort à Louisbourg, datée du 3 avril 1757, pour confirmer la réception d'une lettre de change de 11 livres suite à la vente de quatre pièces de cordage en 1755.
La lettre de Lanne à Messieurs Beaubassin Silvain & Compagnie exprime sa détresse face à l'impossibilité d'honorer les lettres de change qu'ils ont tirées sur lui, à cause de difficultés financières non spécifiées.
Jean Lanne, en date du 4 avril 1757 à Bayonne, informe Jean Laborde, propriétaire du navire et trésorier de la marine à Louisbourg, du départ du bateau Le Dauphin et de la goélette Les Deux frères.
Jean Lanne écrit à François Milly à Louisbourg depuis Bayonne le 3 avril 1757, pour répondre aux lettres précédemment reçues et s'excuser pour le manque de nouvelles, comme demandé par Jean Laborde.
Jean Lagarde, depuis Bayonne, écrit à Bernard Lafitte à Louisbourg le 20 mars 1757 pour confirmer l'envoi de marchandises et régler des détails financiers.
Jean Lafitte et Jeanne Michau écrivent à leur fils Joanis Lafitte Bourguignon pour lui dire qu'ils n'ont pas pu lui envoyer les outils prévus, car on les a dissuadés en pensant qu'il pourrait avoir quitté sa location.
Jean Desbiey écrit de Bayonne au chevalier de Drucour, Gouverneur de l'Isle Royale à Louisbourg, pour l'informer de l'envoi de cent bouteilles de vin blanc d'Anglet.
Jean Barrère (cadet) écrit à M. Morain (cadet) pour lui transmettre un paquet de la part de M. Daniel Augier de Charente, envoyé via le brigantin commandé par le sieur Marsans Larrolet.
Jean Barrère écrit à Jean Laborde pour lui informer de l'état de leurs comptes courants et des transactions commerciales récentes, mentionnant un débit de 10 livres.