Jean Barrère écrit à Jean Laborde pour lui informer de l'état de leurs comptes courants et des transactions commerciales récentes, mentionnant un débit de 10 livres.
Jean Barrère écrit à Guillaume Delort pour l'informer de l'envoi de plusieurs paires de souliers et escarpins, destinées à lui-même et à sa famille, inclus dans un envoi plus large par le bateau Le Dauphin.
Marie Marquerie écrit à son frère, un négociant à Louisbourg, exprimant sa détresse face au manque de nouvelles de sa part, ce qui l'amène à s'inquiéter pour sa vie.
Saint-Jean Monsegur, depuis Ciboure, adresse une lettre à son neveu Saint-Martin Duronea à Louisbourg, félicitant celui-ci pour son récent mariage et lui souhaitant de vivre une vie de famille harmonieuse tout en se montrant plus attentionné envers…
Fransa de Canderats veuve Lahiton, depuis Saint-Jean-de-Luz, écrit à son fils Jean Louis Lahiton, commis à Louisbourg, pour lui faire part de sa bonne santé et de celle de sa famille.
Samson Dufourq, de Saint-Jean-de-Luz, écrit à Monsieur Niquet, négociant à Louisbourg, pour informer de sa bonne santé et exprimer son souhait que Monsieur Niquet et sa famille se portent également bien.
Jeanne de Chast, veuve Madaris, de Ciboure, écrit à Jean Laborde, négociant à Louisbourg, pour lui rappeler une dette concernant les salaires de son défunt mari François Madaris, qui travaillait comme matelot sur la goélette La Pitouche.
Joanna Haurra Mococain veuve Domecq, depuis Saint-Jean-de-Luz, s'adresse à son fils Bertrand Domecq, officier marinier à Louisbourg, pour lui exprimer sa surprise et sa déception de ne pas avoir de ses nouvelles depuis son départ.
Esteben Mendy, depuis Sare, adresse une lettre à Joannes Detchebery, marin à Louisbourg, pour lui communiquer le bon état de santé de leur famille et exprimer sa joie quant aux lettres de change reçues, signe de la bonne fortune de Joannes.
Catherine Dolabarats Despiaube de Saint-Jean-de-Luz écrit à son mari, Joannis Galant Dolabarats, capitaine de port à Louisbourg, pour lui donner des nouvelles de la famille et informer de la situation locale et de la cour de France.
L'abbé Robin écrit depuis Sare à Messieurs Philippe Leneuf de Beaubassin et Jean-Baptiste Dupleix Silvain à Louisbourg, pour rappeler le cas de Jean Daranatz, un jeune matelot de sa paroisse décédé près de Louisbourg.
Dans cette lettre de 1757, Mme veuve Lebret de Saint-Jean-de-Luz s'adresse à Jacques Imbert, un négociant à Louisbourg, concernant une transaction commerciale affectée par des circonstances adverses.
Dans cette lettre du 5 mars 1757, Catherine Dolabarats Despiaube s'adresse à Gracieuse Daguerre, gouvernante de Monsieur Dolabarats à Louisbourg, pour exprimer l'inquiétude de sa mère face au manque de nouvelles de sa part, ce qui est perçu comme un…
Thérèze de Forcade, depuis Maslacq, écrit à François de Baigt à Louisbourg, exprimant sa surprise et celle de la famille due au manque de nouvelles de sa part, malgré la présence de ses maîtres, Bernard et Jacques Lafitte, qui ont eux communiqué avec…
Ursulle Daranette, depuis Ascain, écrit à son fils Pierre Dharoste, marinier à Louisbourg, pour lui faire part de sa réception de sa lettre datée de décembre, exprimant sa joie de savoir qu'il est en bonne santé.
Marthe Mirassou, depuis Maslacq, exprime à son fils Bernard Lafitte, maître charpentier à Louisbourg, sa gratitude pour les présents reçus via Monsieur Lagarde, à l'exception d'une lettre de change différée.
François Desclos écrit à sa mère, Madame Detchepare à Louisbourg, pour lui informer de son arrivée en bonne santé à Socoa et de son installation grâce à l'accueil de Magdelle Pitré.
Maniouri Camino écrit à Jean Laborde, négociant de la marine à Louisbourg, pour le suivi d'une procuration et de documents envoyés l'année précédente via le sieur Darroupé.
M. Barrau de Bayonne envoie une copie de lettre de M. Dupeyrat de Bordeaux aux négociants Beaubassin Silvain & compagnie à Louisbourg, concernant la récupération de dettes issues de la vente de cargaison du navire le St Esprit.
Michel Dupont Duvivier de Gourville écrit à Michael Franquelin à Halifax pour le remercier d'avoir envoyé deux malles laissées chez son oncle et pour discuter des affaires commerciales concernant des étoffes et autres marchandises qu'il avait…