Marie de Çubiet écrit à Laurens Perusquy pour exprimer sa déception de ne pas avoir reçu de lettres de sa part, bien que des habitants de Sare lui aient assuré qu'il est en bonne santé et qu'il gagne un peu d'argent.
Ce document est un certificat délivré par le jaugeur des vaisseaux de l'Amirauté de Bayonne, attestant avoir jaugé le navire nommé Le Dauphin, provenant de Louisbourg sous le commandement du Capitaine Martin Lermet, et déterminé sa capacité à…
Jean Sartho, depuis Saint Jean de Luz, écrit à un ami à Louisbourg, lui rappelant leurs connexions passées et exprimant sa gratitude pour l'aide précédemment reçue.
Maria de Saint Martin informe son fils Joanis Diharce qu'elle a reçu la lettre de change et l'argent qu'il a envoyé, pour lesquels elle le remercie et prie pour sa santé.
Les apothicaires sont chargés de préparer et vendre les remèdes ordonnés par le médecin. Dans ce document, ils travaillent pour le compte de l'Amirauté de Bayonne.
Louis-Bart. Roche de Crassé, écrivant de Bordeaux à Jacques Prevost de la Croix à Louisbourg, exprime son plaisir d'avoir reçu des nouvelles de Prevost mais note que ses propres lettres semblent ne pas avoir été reçues, attribuant potentiellement…
L'abbé Robin, depuis Sare, écrit à M. Poré, négociant à Louisbourg, pour traiter des affaires posthumes de Pierre Darroquy, un matelot récemment décédé, dont la famille a été informée par M. Poré.
L'abbé Robin écrit depuis Sare à Messieurs Philippe Leneuf de Beaubassin et Jean-Baptiste Dupleix Silvain à Louisbourg, pour rappeler le cas de Jean Daranatz, un jeune matelot de sa paroisse décédé près de Louisbourg.
L'abbé Robin écrit à M. Heguy, un négociant de St Jean de Luz actuellement à Louisbourg, pour renouveler leur amitié malgré la distance et discuter de leur relation passée.
Michel Pradere, depuis Sare, écrit à Jacques Imbert, négociant à Louisbourg, pour lui faire part de son retour après avoir été capturé par les Anglais et emmené à Lisbonne suite à une prise de corsaire.
Maria Pasqual, depuis Ossès, écrit à son père, Martin Pasqual, charpentier à Louisbourg, pour lui exprimer son affection et son respect, tout en l'informant de sa bonne santé ainsi que celle de sa tante.
Saint-Jean Monsegur, depuis Ciboure, adresse une lettre à son neveu Saint-Martin Duronea à Louisbourg, félicitant celui-ci pour son récent mariage et lui souhaitant de vivre une vie de famille harmonieuse tout en se montrant plus attentionné envers…
Marthe Mirassou, depuis Maslacq, écrit à Jacques Lafitte, maître charpentier à Louisbourg, pour exprimer son désespoir concernant les problèmes causés par son frère Bernard.
Marthe Mirassou, depuis Maslacq, exprime à son fils Bernard Lafitte, maître charpentier à Louisbourg, sa gratitude pour les présents reçus via Monsieur Lagarde, à l'exception d'une lettre de change différée.
Esteben Mendy, depuis Sare, adresse une lettre à Joannes Detchebery, marin à Louisbourg, pour lui communiquer le bon état de santé de leur famille et exprimer sa joie quant aux lettres de change reçues, signe de la bonne fortune de Joannes.
Joanes Matet informe son fils Joannes que toute la famille est en bonne santé et souhaite la même chose pour lui, tout en exprimant le désir de le revoir.
Marie Marquerie écrit à son frère, un négociant à Louisbourg, exprimant sa détresse face au manque de nouvelles de sa part, ce qui l'amène à s'inquiéter pour sa vie.
Joanna Haurra Mococain veuve Domecq, depuis Saint-Jean-de-Luz, s'adresse à son fils Bertrand Domecq, officier marinier à Louisbourg, pour lui exprimer sa surprise et sa déception de ne pas avoir de ses nouvelles depuis son départ.
Catherine Lustre, depuis Bordeaux, écrit à son fils Joseph Lustre à Louisbourg, le remerciant pour ses envois financiers et exprimant sa préoccupation quant à son silence prolongé.
Mariattou de Loriague, veuve à Saint-Jean-de-Luz, écrit le 26 mars 1757 à son cousin Joannis Galant Dolabarats à Louisbourg, lui demandant d'obtenir un certificat de la part du commissaire de la marine confirmant les voyages que son fils François a…
Jeanne de Lissardy, veuve Ducos, répond à Bertrand Derocet de Louisbourg en confirmant la réception d'une lettre de change de 240 livres qu'elle lui créditera dès que possible.
Jean Lirman écrit à Simon Gotière de Bayonne, exprimant ses respects et se renseignant sur l'état de santé de Simon et de sa famille, tout en demandant des nouvelles d'un billet et de divers prêts qu'il a faits.