Fransa de Canderats veuve Lahiton, depuis Saint-Jean-de-Luz, écrit à son fils Jean Louis Lahiton, commis à Louisbourg, pour lui faire part de sa bonne santé et de celle de sa famille.
Peredos de Carette, depuis Bayonne, écrit au chevalier Du Brouhet, capitaine au régiment de Bourgogne à Louisbourg, pour l'informer de l'envoi des effets demandés, accompagnés d'une facture détaillée.
Peredos de Carette, depuis Bayonne, écrit au chevalier Du Brouhet, capitaine au régiment de Bourgogne à Louisbourg, pour l'informer de l'envoi des effets demandés, accompagnés d'une facture détaillée.
Anaiak arrebei bidalitako gutuna. Gutunazaleko hartzailea Doña María Carrique Landuix / Londuix da.
[Lettre d'un frère à ses sœurs. Le destinataire figurant sur l'enveloppe est María Carrique Landuix / Londuix.]
Anaiak arrebei bidalitako gutuna. Gutunazaleko hartzailea Doña María Carrique Landuix da.
[Lettre d'un frère à ses sœurs. Le destinataire figurant sur l'enveloppe est María Carrique Landuix).]
Dans sa lettre datée du 15 octobre 1754, Joannis Cassaro, depuis Léognan, s'adresse à un destinataire non spécifié pour lui rappeler un arrangement financier passé durant une période de guerre.
Un contrat d'assurance sur le corps du navire "Les deux frères" est établi à Bayonne le 22 février 1757 par plusieurs assureurs, évaluant le capital total à une somme non précisée.
Un contrat d'assurance sur les marchandises chargées à bord de la goélette "Les deux frères", capitaine Pierre Guiraud, est établi à Bayonne le 22 février 1757 par plusieurs assureurs, couvrant les risques du voyage jusqu'à Louisbourg.
Le document détaille un accord d'assurance maritime entre Jean Lanne, agissant pour le compte de Jean Laborde et divers assureurs pour le navire Le Dauphin, commandé par le capitaine Lermet et en partance pour Louisbourg.
Le document est un accord d'assurance maritime pour le navire Le Dauphin, commandé par le Capitaine Lermet et représenté par Jean Lanne, couvrant la cargaison transportée vers Louisbourg.
Jeanne de Chast, veuve Madaris, de Ciboure, écrit à Jean Laborde, négociant à Louisbourg, pour lui rappeler une dette concernant les salaires de son défunt mari François Madaris, qui travaillait comme matelot sur la goélette La Pitouche.
Betry Daguerre informe son frère Martincho Daguerre de sa bonne santé ainsi que de celle de leur famille, bien que son épouse soit gravement malade depuis neuf mois.
Étienne Dalbarade, depuis Hendaye le 24 mars 1757, écrit à son ami Louis Merlet à Louisbourg pour lui envoyer deux barils d'anchois par l'intermédiaire de Dominique Leblanc.
Dans sa lettre datée du premier mars 1757, Etienne Dalbarade s'adresse à Monsieur Dominique Leblanc pour s'excuser du retard dans l'envoi d'une charrette de barils d'anchois, en raison de l'absence d'un bouvier.
Etienne Dalbarade, depuis Hendaye, adresse une lettre à Monsieur Leblanc à Bayonne, datée du 10 mars 1757, pour l'informer de l'envoi d'un double d'une reconnaissance concernant cinquante-six barils d'anchois, avec les détails des arrangements pris…
Marion Daldabe écrit à son cousin, Dominique Leblanc à Bayonne, pour exprimer la joie de la famille après sa visite et le plaisir qu'il a apporté à un jeune garçon placé sous sa protection.
Ursulle Daranette, depuis Ascain, écrit à son fils Pierre Dharoste, marinier à Louisbourg, pour lui faire part de sa réception de sa lettre datée de décembre, exprimant sa joie de savoir qu'il est en bonne santé.
Marie Darburu écrit à sa fille Marie Duhalde Harboure pour lui donner des nouvelles et s'excuser de la rareté de ses lettres, bien qu'elle en ait envoyé plusieurs par différents messagers, dont certains ont été capturés par les Anglais.
Dans cette lettre, Graçian Dargois s'adresse à son cousin Pierre d'Harrichury à Louisbourg pour lui exprimer ses respects et lui souhaiter santé et longévité.
Marie Dargois, écrivant à travers son fils, répond à une lettre reçue de Mademoiselle d'Harrichury, informant de son arrivée sûre à Bayonne et préparant le retour par bateau.
Gachina Darismendy, depuis Hendaye, écrit à son fils Dominice Dihource à Louisbourg pour lui exprimer son inquiétude due à l'absence de nouvelles de sa part.