Anaiak arrebei bidalitako gutuna. Gutunazaleko hartzailea Doña María Carrique Landuix / Londuix da.
[Lettre d'un frère à ses sœurs. Le destinataire figurant sur l'enveloppe est María Carrique Landuix / Londuix.]
Anaiak arrebei bidalitako gutuna. Gutunazaleko hartzailea Doña María Carrique Landuix da.
[Lettre d'un frère à ses sœurs. Le destinataire figurant sur l'enveloppe est María Carrique Landuix).]
Dans cette lettre, l'oncle de M. Lafitte, charpentier à Louisbourg, exprime son contentement suite à la réception d'une lettre de son neveu qui lui apporte de bonnes nouvelles concernant sa santé.
Dans cette lettre, Graçian Dargois s'adresse à son cousin Pierre d'Harrichury à Louisbourg pour lui exprimer ses respects et lui souhaiter santé et longévité.
Jean Sartho, depuis Saint Jean de Luz, écrit à un ami à Louisbourg, lui rappelant leurs connexions passées et exprimant sa gratitude pour l'aide précédemment reçue.
Dans sa lettre datée du 15 octobre 1754, Joannis Cassaro, depuis Léognan, s'adresse à un destinataire non spécifié pour lui rappeler un arrangement financier passé durant une période de guerre.
Angélique Laparque, d'Hendaye, écrit à Louis Merlet à Louisbourg pour l'informer de la situation financière précaire dans laquelle elle se trouve, mentionnant ses difficultés économiques malgré l'envoi précédent de 600 livres par Merlet.
Louis-Bart. Roche de Crassé, écrivant de Bordeaux à Jacques Prevost de la Croix à Louisbourg, exprime son plaisir d'avoir reçu des nouvelles de Prevost mais note que ses propres lettres semblent ne pas avoir été reçues, attribuant potentiellement…
Louis Gernon, depuis Bordeaux, écrit à Nicolas Larcher à Louisbourg, lui confirmant la réception de son message concernant l'arrivée de 250 barils de beurre par Le Mentor.
Dans sa lettre datée du 23 octobre 1756, Jean Barrère, depuis Bayonne, s'adresse à Jean Laborde à Louisbourg, lui faisant part de la réception de sa correspondance et des événements concernant le bateau "le Victorieux" (Dauphin de Louisbourg).
Dans cette lettre, Michel Harismendy de Saint-Jean-de-Luz exprime à Dominique Leblanc d'Hendaye son plaisir d'avoir des nouvelles et mentionne sa propre mère et ses sœurs.
Dans cette lettre d'Étienne-Pierre Cabarrus à son frère Michel-Léon Cabarrus, le premier détaille leurs transactions commerciales et financières, notamment les paiements et les envois de marchandises.
Dans cette lettre très détaillée, Michel Dupont Duvivier de Gourville écrit à sa femme, Marie Josephe Gautier de Gourville, pour partager des nouvelles personnelles et familiales, ainsi que des instructions précises concernant la gestion de leurs…
Dans sa lettre adressée à Michel Harismendy à Saint-Jean-de-Luz, Dominique Leblanc exprime ses vœux de nouvelle année en espérant que Harismendy et sa famille connaîtront satisfaction et prospérité.
P. Larrigue, depuis Saint-Jean-de-Luz, écrit à François Lartigue, un négociant à Louisbourg, pour traiter de questions financières liées à la succession de feu François Mavalé.
La veuve Lebret, depuis Saint-Jean-de-Luz, écrit à Jacques Imbert, un négociant à Louisbourg, pour gérer des affaires financières concernant la vente de "reis".
Jeanne de Lissardy, veuve Ducos, répond à Bertrand Derocet de Louisbourg en confirmant la réception d'une lettre de change de 240 livres qu'elle lui créditera dès que possible.
Gachina Darismendy, depuis Hendaye, écrit à son fils Dominice Dihource à Louisbourg pour lui exprimer son inquiétude due à l'absence de nouvelles de sa part.
Marie Martine Duronea adresse une lettre à son frère, Saint-Martin Duronea, capitaine de navire à Louisbourg, où elle exprime ses sentiments mitigés concernant son mariage récent.
Marie Martine Duronea écrit à sa sœur Perinne Dupont Duronea à Louisbourg, exprimant son bonheur pour son mariage, non basé sur les éloges familiaux, mais sur la réputation publique favorable de Perinne.
Dans sa lettre, Behola, prêtre, exprime initialement la réaction émotionnelle de la mère de Monsieur Saint-Martin Duronea à l'annonce de son mariage à Louisbourg, qui était marquée par une grande affliction transformée en larmes et cris.
M. Lechevalier écrit à Michel-Léon Cabarrus pour informer de l'envoi de cinq lettres par duplicata afin de pallier les problèmes de réception précédents et pour mettre à jour M. Cabarrus sur la gestion de ses affaires.
M. Dupeyrat, depuis Bordeaux, s'adresse à la société Beaubassin Silvain & compagnie à Louisbourg, exprimant sa frustration face à l'échec des débiteurs à régler leurs dettes envers Monsieur Camfranq.
Bertrand Lacomberry, écrivant depuis Bordeaux à son cousin Joseph Lustre à Louisbourg, exprime son contentement d'avoir pu remettre les lettres destinées à la femme de Joseph et se réjouit de la bonne santé rapportée de son cousin malgré les rumeurs…