Madame veuve Lebret, depuis Saint-Jean-de-Luz, adresse une lettre à Jacques Imbert, négociant à Louisbourg, le 24 mars 1757, pour régler une affaire commerciale concernant des rets (filets) vendus. Elle informe Imbert que Monsieur Hiriboure, qui…
La veuve Lebret, depuis Saint-Jean-de-Luz, écrit à Jacques Imbert, un négociant à Louisbourg, pour gérer des affaires financières concernant la vente de "reis".
M. Lechevalier écrit à Michel-Léon Cabarrus pour informer de l'envoi de cinq lettres par duplicata afin de pallier les problèmes de réception précédents et pour mettre à jour M. Cabarrus sur la gestion de ses affaires.
M. Legaigneur, devenu responsable du commerce familial à Caën suite au départ de son père, écrit à M. La Roche, marchand à Louisbourg, pour lui proposer ses services et souligner les avantages financiers d'une collaboration.
M. Legaigneur, négociant à Caën, adresse une lettre à M. Cabofy, marchand à Louisbourg, le 1er avril 1757, pour s'enquérir de sa santé et de celle de son épouse, tout en exprimant ses vœux pour leur bien-être.
M. Legaigneur, depuis Bayonne le 1er avril 1757, exprime sa surprise et son inquiétude face au manque de réponse de René Laussieux, actuellement à Louisbourg, à ses précédentes lettres.
Dans cette lettre du 6 mars 1757, Remond Leumau écrit à Pierre Lasserre, tonnelier à Louisbourg, pour échanger des nouvelles personnelles et commerciales.
Martin Lermet, capitaine du navire Le Dauphin, admet avoir reçu et chargé une caisse emballée marquée par Monsieur Jean Barrere cadet à Bayonne, pour être transportée à Louisbourg.
Dans ce document, Martin Lermet, capitaine du Dauphin, charge une barrique de vin destinée à Monsieur Cazalis à bord du navire en vue d'un voyage à Louisbourg. L'imprimé n'est pas signé. Mais la main semble être la sienne.
Martin Lermet, maître du navire Le Dauphin, actuellement à Bayonne et prévoyant de naviguer vers Louisbourg à la première occasion favorable, atteste avoir chargé à bord diverses marchandises pour le compte de l'armateur Jean Lanne.
Lolotte Levacher Depanve écrit à son frère depuis Bayonne pour partager ses nouvelles et expliquer sa décision de déménager loin de Brest avec Dufrenne et sa sœur suite à une déception familiale.
Jean Lirman écrit à Simon Gotière de Bayonne, exprimant ses respects et se renseignant sur l'état de santé de Simon et de sa famille, tout en demandant des nouvelles d'un billet et de divers prêts qu'il a faits.
Jeanne de Lissardy, veuve Ducos, répond à Bertrand Derocet de Louisbourg en confirmant la réception d'une lettre de change de 240 livres qu'elle lui créditera dès que possible.
Mariattou de Loriague, veuve à Saint-Jean-de-Luz, écrit le 26 mars 1757 à son cousin Joannis Galant Dolabarats à Louisbourg, lui demandant d'obtenir un certificat de la part du commissaire de la marine confirmant les voyages que son fils François a…
Catherine Lustre, depuis Bordeaux, écrit à son fils Joseph Lustre à Louisbourg, le remerciant pour ses envois financiers et exprimant sa préoccupation quant à son silence prolongé.
Joanna Haurra Mococain veuve Domecq, depuis Saint-Jean-de-Luz, s'adresse à son fils Bertrand Domecq, officier marinier à Louisbourg, pour lui exprimer sa surprise et sa déception de ne pas avoir de ses nouvelles depuis son départ.
Marie Marquerie écrit à son frère, un négociant à Louisbourg, exprimant sa détresse face au manque de nouvelles de sa part, ce qui l'amène à s'inquiéter pour sa vie.
Joanes Matet informe son fils Joannes que toute la famille est en bonne santé et souhaite la même chose pour lui, tout en exprimant le désir de le revoir.
Esteben Mendy, depuis Sare, adresse une lettre à Joannes Detchebery, marin à Louisbourg, pour lui communiquer le bon état de santé de leur famille et exprimer sa joie quant aux lettres de change reçues, signe de la bonne fortune de Joannes.
Marthe Mirassou, depuis Maslacq, exprime à son fils Bernard Lafitte, maître charpentier à Louisbourg, sa gratitude pour les présents reçus via Monsieur Lagarde, à l'exception d'une lettre de change différée.
Marthe Mirassou, depuis Maslacq, écrit à Jacques Lafitte, maître charpentier à Louisbourg, pour exprimer son désespoir concernant les problèmes causés par son frère Bernard.
Saint-Jean Monsegur, depuis Ciboure, adresse une lettre à son neveu Saint-Martin Duronea à Louisbourg, félicitant celui-ci pour son récent mariage et lui souhaitant de vivre une vie de famille harmonieuse tout en se montrant plus attentionné envers…
Maria Pasqual, depuis Ossès, écrit à son père, Martin Pasqual, charpentier à Louisbourg, pour lui exprimer son affection et son respect, tout en l'informant de sa bonne santé ainsi que celle de sa tante.
Michel Pradere, depuis Sare, écrit à Jacques Imbert, négociant à Louisbourg, pour lui faire part de son retour après avoir été capturé par les Anglais et emmené à Lisbonne suite à une prise de corsaire.
L'abbé Robin écrit à M. Heguy, un négociant de St Jean de Luz actuellement à Louisbourg, pour renouveler leur amitié malgré la distance et discuter de leur relation passée.
L'abbé Robin écrit depuis Sare à Messieurs Philippe Leneuf de Beaubassin et Jean-Baptiste Dupleix Silvain à Louisbourg, pour rappeler le cas de Jean Daranatz, un jeune matelot de sa paroisse décédé près de Louisbourg.