Angélique Laparque, d'Hendaye, écrit à Louis Merlet à Louisbourg pour l'informer de la situation financière précaire dans laquelle elle se trouve, mentionnant ses difficultés économiques malgré l'envoi précédent de 600 livres par Merlet.
Maria de Lapits écrit à son fils Pierre Laborde, matelot à Louisbourg, depuis Saint Jean de Luz le 2 avril 1757, pour lui annoncer le décès de plusieurs membres de leur famille, y compris sa sœur et sa tante.
Pierre Lapouble, depuis Saint-Jean-de-Luz, informe Madame Labatiste La Lorans, à Louisbourg, de sa récente captivité par une frégate anglaise près de Louisbourg et de son détour forcé vers Lisbonne avant de retourner chez lui.
J. G. Larreguy, depuis Saint-Jean-de-Luz, informe Michel Delort, négociant à Louisbourg, des dernières aventures maritimes et des expéditions récentes, tout en espérant réparer les éventuelles erreurs lors de la prochaine campagne en mai.
P. Larrigue, depuis Saint-Jean-de-Luz, écrit à François Lartigue, un négociant à Louisbourg, pour traiter de questions financières liées à la succession de feu François Mavalé.
Dans sa lettre adressée à Michel Harismendy à Saint-Jean-de-Luz, Dominique Leblanc exprime ses vœux de nouvelle année en espérant que Harismendy et sa famille connaîtront satisfaction et prospérité.
Monsieur Jauretche, marin-pécheur, ne devait pas savoir lire et écrire. Le papier semble être écrit de la main de Dominique Leblanc. Nous ne retrouvons pas le nom de M. Jauretche dans le rôle d'équipage du Dauphin.
Le texte contient un inventaire d'objets restés à bord du Dauphin, énumérant divers articles comme des instruments de navigation, de la vaisselle, un pavillon avec un flamme rouge, des barriques vides, et du matériel de cuisine, entre autres.
Il s'agit d'un état des provisions et équipements manquants à bord du navire Le Dauphin, incluant deux barriques de cidre, un quintal de morue, deux plats de terre, et six cuillères.
Dominique Leblanc, le second capitaine du Dauphin, certifie avoir reçu de Jean Lagarde, de Bayonne, deux barils contenant des chaussures pour hommes et femmes, destinés à Bernard Lafitte à Louisbourg.
Dans cette lettre de 1757, Mme veuve Lebret de Saint-Jean-de-Luz s'adresse à Jacques Imbert, un négociant à Louisbourg, concernant une transaction commerciale affectée par des circonstances adverses.
Madame veuve Lebret, depuis Saint-Jean-de-Luz, adresse une lettre à Jacques Imbert, négociant à Louisbourg, le 24 mars 1757, pour régler une affaire commerciale concernant des rets (filets) vendus. Elle informe Imbert que Monsieur Hiriboure, qui…
La veuve Lebret, depuis Saint-Jean-de-Luz, écrit à Jacques Imbert, un négociant à Louisbourg, pour gérer des affaires financières concernant la vente de "reis".
M. Lechevalier écrit à Michel-Léon Cabarrus pour informer de l'envoi de cinq lettres par duplicata afin de pallier les problèmes de réception précédents et pour mettre à jour M. Cabarrus sur la gestion de ses affaires.
M. Legaigneur, devenu responsable du commerce familial à Caën suite au départ de son père, écrit à M. La Roche, marchand à Louisbourg, pour lui proposer ses services et souligner les avantages financiers d'une collaboration.
M. Legaigneur, négociant à Caën, adresse une lettre à M. Cabofy, marchand à Louisbourg, le 1er avril 1757, pour s'enquérir de sa santé et de celle de son épouse, tout en exprimant ses vœux pour leur bien-être.
M. Legaigneur, depuis Bayonne le 1er avril 1757, exprime sa surprise et son inquiétude face au manque de réponse de René Laussieux, actuellement à Louisbourg, à ses précédentes lettres.
Dans cette lettre du 6 mars 1757, Remond Leumau écrit à Pierre Lasserre, tonnelier à Louisbourg, pour échanger des nouvelles personnelles et commerciales.
Martin Lermet, capitaine du navire Le Dauphin, admet avoir reçu et chargé une caisse emballée marquée par Monsieur Jean Barrere cadet à Bayonne, pour être transportée à Louisbourg.
Dans ce document, Martin Lermet, capitaine du Dauphin, charge une barrique de vin destinée à Monsieur Cazalis à bord du navire en vue d'un voyage à Louisbourg. L'imprimé n'est pas signé. Mais la main semble être la sienne.
Martin Lermet, maître du navire Le Dauphin, actuellement à Bayonne et prévoyant de naviguer vers Louisbourg à la première occasion favorable, atteste avoir chargé à bord diverses marchandises pour le compte de l'armateur Jean Lanne.
Lolotte Levacher Depanve écrit à son frère depuis Bayonne pour partager ses nouvelles et expliquer sa décision de déménager loin de Brest avec Dufrenne et sa sœur suite à une déception familiale.
Jean Lirman écrit à Simon Gotière de Bayonne, exprimant ses respects et se renseignant sur l'état de santé de Simon et de sa famille, tout en demandant des nouvelles d'un billet et de divers prêts qu'il a faits.
Jeanne de Lissardy, veuve Ducos, répond à Bertrand Derocet de Louisbourg en confirmant la réception d'une lettre de change de 240 livres qu'elle lui créditera dès que possible.
Mariattou de Loriague, veuve à Saint-Jean-de-Luz, écrit le 26 mars 1757 à son cousin Joannis Galant Dolabarats à Louisbourg, lui demandant d'obtenir un certificat de la part du commissaire de la marine confirmant les voyages que son fils François a…
Catherine Lustre, depuis Bordeaux, écrit à son fils Joseph Lustre à Louisbourg, le remerciant pour ses envois financiers et exprimant sa préoccupation quant à son silence prolongé.
Joanna Haurra Mococain veuve Domecq, depuis Saint-Jean-de-Luz, s'adresse à son fils Bertrand Domecq, officier marinier à Louisbourg, pour lui exprimer sa surprise et sa déception de ne pas avoir de ses nouvelles depuis son départ.
Marie Marquerie écrit à son frère, un négociant à Louisbourg, exprimant sa détresse face au manque de nouvelles de sa part, ce qui l'amène à s'inquiéter pour sa vie.